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Wednesday, February 26, 2014

CRUMB MAGAZINE Rencontre, Simon Procter

Rencontre, Simon Procter

Date de publication : 18 décembre 2013 | Keywords : / / / /

Simon Procter, que l’on connait comme un des plus grand photographe de mode actuel, naviguant entre haute-couture et peinture classique et entre Paris et New-York, présente en ce moment à la galerie Framology une série d’instantanés Instagram pris autour du monde. Reconnu pour avoir photographié les plus grandes personnalités, stars hollywoodiennes et top-modèles internationaux à travers l’univers de la mode et du showbiz, Simon Procter nous fait donc partager en ce moment à l’occasion de cette exposition, une autre facette de sa création. Le projet Under Lutetia, a été lancé à Paris en 2009 et consiste à immortaliser jour après jour la vie de l’artiste et les temps forts qui marquent son existence, à travers un journal photographique expérimental et entièrement réalisé avec son iPhone. Comment un photographe aussi reconnu en arrive t’il à exposer des photos Instagram ? Tout le contraire de ses œuvres photographiques sophistiquées…donc inconformiste, Simon Procter.
Simon Procter a grandi dans un petit village de mineurs dans le Nord de l’Angleterre, a étudié les Beaux-arts pendant plusieurs années avant de venir vivre à Paris à la fin des années 1990, où il développa sa technique photographique autour des défilés de mode et de leurs environnements architecturaux.Le célèbre magasin Colette à Paris décida immédiatement d’exposer son travail (exposition sponsorisée par les maisons Armani et Prada). Il retint alors l’attention des créateurs de Haute Couture Karl Lagerfeld et John Galliano avec qui il continue encore aujourd’hui de travailler en étroite collaboration. Un peu plus tard, la présentation de son œuvre Galliano Royal lors de sa première grande exposition internationale à Art Basel a été le plus grand succès de l’histoire de la galerie. Depuis Simon Procter a exposé dans un grand nombre de galeries et musées et son travail est présent dans de nombreuses collections prestigieuses. Parmi ses clients on compte le Boston Museum d’art contemporain, Nokia, Marriot Hotels, Adidas Y-3, L’Oréal Paris et Nike, Galeries Lafayette, Reebok, Montblanc, Banque National de Paris, et des collectionneurs privés…

Simon Procter pour crumb magazine
©SayWho
Crumb : Quelle était la raison principale pour exposer vos photographies personnelles dans une galerie ?
Mon ami Christophe Menager, de Propos d ‘ Artistes [agence soutenant la création artistique contemporaine] en a eu l’idée et m’a présenté à Mathieu [Karst] qui est commissaire de la Galerie Framology . Juste une bonne énergie .
Comment avez- vous eu l’idée d’exposer vos photographies personnelles ?
Je pense que c’est un travail solide et un contrepoint intéressant à mes œuvres plus largement connues.
Avec la démocratisation d’Instagram, tout le monde peut devenir un photographe, et vous l’utilisez, alors que de nombreux photographes professionnels s’en plaignent.
Je n’étais pas au courant de cela . Je ne vois pas pourquoi quelqu’un se plaindrait de personnes prenant des photos et faisant de l’art . C’est une chose merveilleuse .
Que pensez-vous de la popularité d’Instagram ?

Je ne pense pas trop à ce sujet. Tout ce qui rend l’accès à l’art et son exposition plus simple pour les gens est bien. Cela ne change rien au fait que nous devons travailler dur pour être de bons artistes. La formation mentale d’un bon artiste et les processus créatifs sont les mêmes que toujours.
Quelle est la différence entre un photographe professionnel et n’importe quelle personne qui prend des photos ?
Je pense que c’est surtout une question de temps. J’ai de la chance parce que je peux passer presque tout mon temps à faire des photos ou penser aux photos que je vais faire. Ca vous donne un avantage pour aller plus loin, plus profondèment.
©Simon Procter©Simon Procter©Simon Procter©Simon Procter©Simon Procter©Simon Procter©Simon Procter©Simon Procter

Thursday, January 24, 2013

Bespoke Magazine , USA

Bespoke Magazine

What is the inspiration and meaning behind Spirits of Valentino?
A fashion show at the level of Valentino is an intense incandescent moment.
Sometimes I feel there is almost sadness, it is done only once with great beauty and passion, but in a few minute sits over.

How does this piece tie in with or differ from the rest of your body of work?

It is  a continuation of the Modeland series, I think it differs in that it is a more impressionistic interpretation of the moment. Previous work was super realist.
But also the early part of series was created from the point of view of an innocent, looking upon these incredible spectacles from the outside. For better or worse I am no longer an innocent and I don't see the shows in the same way.

Have you seen it installed in the hotel? What do you think of its location and how it fits the hotel's design?

Yes. It was a real buzz. I hadn't realised how prominent the piece would be. I am very proud.

What reaction do you hope to evoke from guests who see the artwork here?

I hope they feel the moment of something very beautiful that happened far away.

Where else in Miami do you have art on display?


The Rosenbaum Gallery in Miami is showing both of my new series "Portraits of Astrid"  and "Youth Silver"

What are your upcoming projects or installations?

Lots of wonderful things.  Next week I am shooting karl Lagerfeld which is always fun.

Simon Procters large canvas artwork "the spirits of Valentino" is on permanent display at the St Regis luxury hotel, Miami



Sunday, April 15, 2012

Sunday, March 11, 2012

Wednesday, November 30, 2011

Article on Simon Procter in Dedicate Magazine

A four page feature on the photographer SImon procter.
Article focuses on his experimental iphone series "Under Lutetia"

Simon Procter a grandi dans un petit village de mineurs dans le nord de l’Angleterre et a étudié les Beaux-Arts pendant plusieurs années avant de venir vivre à Paris à la fin des années 1990. C’est à cette époque qu’il développa sa technique photographique autour des défilés de mode et de leurs environnements architecturaux. Simon Procter fait partie d’un nouveau courant d’artistes contemporains qui se situent à la frontière des mondes de la Haute Couture et des Beaux-Arts. La composition de ses œuvres se révèle souvent riche et complexe rendant ainsi encore plus floues les limites entre photographie et peinture. On retiendra les fantastiques images mettant en scène John Galliano ou Karl Lagarfeld pour le Harper’s Bazaar mais aussi ses fresques magnifiques inspirées à la fois des œuvres de la Renaissance et de la danse contemporaine. Reconnu pour avoir photographié les plus grandes personnalités, stars hollywoodiennes et top-models internationaux, son travail reflète un style de vie, une synthèse unique et singulière entre peinture classique et photographie de mode. C’est à l’occasion de ce numéro que l’artiste a accepté de nous confier une série de photographies jamais publiées et qui immortalisent les émotions. Des expressions fortes, spontanées et captées sur le vif, que l’artiste nous fait partager en totale exclusivité.

Monday, October 17, 2011

Interview with SImon procter for MULL IT OVER


Interview  with SImon procter for MULL IT OVER
A series of web based interviews with innovative contemporary photographers from around the world.


JONATHAN CHERRY: What gets you out of bed in the morning?
SIMON PROCTER: Fear it might be all too late.
JC: Are there any emerging artists inspiring you at the moment?
SP: Many many but I don’t remember their names very well I’m afraid and I apologise for that. I admire greatly strong work but my all consuming interest in most things is how it can be used to make what I’m doing better. I’m studying a lot of film at the moment & I also liked Le Gun very much. It’s an underground british illustration magazine
JC: Where are you from?
SP: Northern England, raised in Royston near Barnsley in the riding of South Yorkshire, tough little pit village but good people.
JC: Do you currently have a personal project on the go?
SP: Too many, have been working on a film for a while and I’m constantly trying to reinterpret fashion photography as fine art.
JC: Any wise words to recent photography graduates?
SP: Editing, lots of editing and thinking and rethinking about what you have done and how it can be done better. You should be lying awake at night fretting how something can come together. & integrity does matter despite what people say. Most importantly you have to make it happen, finish things, get things done. 
JC: Other thoughts?
SP: There are no good or bad subjects. Anything done the right way, done with a ferocious integrity can transcend its own medium. 
Kubrik is a great best example of this.
JONATHAN CHERRY: What gets you out of bed in the morning?
SIMON PROCTER: Fear it might be all too late.
JC: Are there any emerging artists inspiring you at the moment?
SP: Many many but I don’t remember their names very well I’m afraid and I apologise for that. I admire greatly strong work but my all consuming interest in most things is how it can be used to make what I’m doing better. I’m studying a lot of film at the moment & I also liked Le Gun very much. It’s an underground british illustration magazine
JC: Where are you from?
SP: Northern England, raised in Royston near Barnsley in the riding of South Yorkshire, tough little pit village but good people.
JC: Do you currently have a personal project on the go?
SP: Too many, have been working on a film for a while and I’m constantly trying to reinterpret fashion photography as fine art.
JC: Any wise words to recent photography graduates?
SP: Editing, lots of editing and thinking and rethinking about what you have done and how it can be done better. You should be lying awake at night fretting how something can come together. & integrity does matter despite what people say. Most importantly you have to make it happen, finish things, get things done.
JC: Other thoughts?
SP: There are no good or bad subjects. Anything done the right way, done with a ferocious integrity can transcend its own medium.
Kubrik is a great best example of this.